Hier soir, je ne pensais à rien de mâle. Surtout pas à l’Amiral qui m’a éconduit de manière assez écoeurante comme vous pouvez vous en souvenir. Hier soir, pourtant, « on » a sonné à ma porte. Avec mes chaussures rouges, je suis allé ouvrir. Et bien,...

Sommes toutes, il est assez facile de me recevoir. Mondanité rime avec Maréchal. Un petit tapis rouge en toute simplicité, vous me faites signe et j’arrive. Du moins, si vous restez derrière pendant que je serais Moi Devant. Pour animer vos soirées karaoké,...

Il vaut parfois mieux être sourd que d’entendre ça. En d’autres occasions j’aimerais mieux ne pas avoir à écouter. Bon, enfin là, de toutes les façons ça ne joue pas car il s’agit d’un truc que j’ai pensé. Flute, du coup, j’ai encore raté mon introduction....

Lu pour vous dans le courrier des lecteurs de l’hebdomadaire abidjanais « top visages » édition du 13 août 2007 Stéphie, Je vis un calvaire en ce moment dans mon foyer. Cela fait trois ans que je vis en concubinage avec Jérémie. Tout allait bien jusqu’à...

C’est plus fort que moi : je crois que je craque. La barrique est en train de prendre eau de toute part. J’aurais peut être du vous écrire sur une éponge. Ou sur l’Amiral, je ne sais pas. Je vois des chaussures rouges partout maintenant. C’est affreux....

Ni ce qu’ils ne font pas d’ailleurs. C’est bien pour cela qu’il faut que vous restiez derrière pendant que je suis Moi Devant et que je vous ouvre les voies. Je vous le redis : être ou ne pas être : là n’est pas la question. Me résister ne ferait que...

Ca c’est passé vendredi soir. Là, il y a deux jours. Oui, avant-hier soir si vous voulez. J’en étais à ma 1 047è séance chez ma psy, la docteur Schneider, vous savez bien maintenant, celle qui est à mon équilibre mental ce que la menthe est au diabolo....

Vous avez remarqué ? J’ai séché pendant deux jours où je ne vous ai rien écrit. Comment dire… Ce n’est pas que je ne veux pas. Mais je ne peux pas. Enfin, ce n’est pas tout à fait aussi simple. En fait, je peux. Mais je ne sais pas de quoi vous parler....

Vous me croiseriez dans la rue, tout à fait normalement, que vous ne feriez même pas attention à moi tellement j’ai l’air normal. C’est vrai. Je suis commun, fade, inexpressif. Je suis de ceux qu’on bouscule parce qu’on ne les remarque pas. Et auprès...

Mais foutez-nous la paix ! Nous, à l’Association des Pauvres Mais Travailleurs, nous n’avons pas envie de dépenser moins. Nous voulons dépenser ce dont nous avons envie. Non mais ! Y’en a marre de toute cette intelligentsia qui sait tout mieux que tout...