Mais où donc, où donc, est Cécilia Sarkozy ?
Vous vous en doutez, je ressemble à quelque chose que vous ne connaissez pas et à laquelle vous ne pouvez donc pas me comparer. Je me demande bien de quoi parlerait la presse aujourd’hui s’il n’y avait des grèves en France, et si la « première dame » n’avait pas disparu. Où est-elle donc, cette Cécilia ? Quand je me dis que j’aurais pu la rencontrer, ici ou là, à l’occasion d’une soirée mondaine… Je suis extrêmement inquiet pour elle. Vous probablement aussi, mais vous savez moins bien l’exprimer que moi, c’est pour cela que je préfère prendre les Devants. Et ça, j’aime bien.
Pour essayer de calmer mon inquiétude, j’ai successivement fait une lessive de Blanc très sale (avec prélavage), demandé une deuxième séance cette semaine au Docteur Schneider, ma psy, qui est à mon équilibre mental ce que le hic est au nunc et enfin j’ai laissé tremper mes doigts dans du « palmolive » pendant toute une heure.
Cécilia, si tu me lis, et je sais que tu me lis, fais-moi signe. Il m’a été confié de te rendre tes chaussures rouges que tu aurais oubliées lors d’une de tes soirées mondaines. Cécilia, peut-être devrions-nous lancer les infirmières bulgares à ta recherche ?