C'est mon dernier mot !
Et voilà chers amis blogueurs. C’est la larme à l’œil que je rédige cet ultime billet. Il est temps pour moi de tirer ma révérence et de mettre fin aux histoires bizarres d’Anténor le Maréchal Président à Vie de l’Association des Pauvres Mais Travailleurs. L’occasion de révéler que je ne passe pas mes soirées devant une machine à laver. D’avouer que je ne déteste pas tant que ça les chats. D’admettre que la Rousse n’est pas ma copine, ni ma fille mais une personne dans mon entourage que j’apprécie énormément. De remercier J. (et un peu D.) qui a été l’artisan de nombreuses photos (mais pas de toutes). De saluer Mike le Niçois pour les photos anténoresques trafiquées et on sait qu’il aurait voulu que j’en publie plus.
Mais, et surtout (mon Dieu, j’ai l’impression de lire mon discours au Festival de Cannes), je voudrais remercier tout mon lectorat. Les lecteurs inconditionnels de la première heure qui ont résisté jusque là, ceux qui sont venus en cours de route, ceux qui sont venus et qui ne sont pas restés… bref, vous tous qui m’avez à un moment ou un autre encouragé dans cette difficile entreprise de tenir un blog. Je ne cite personne de peur d’oublier l’un ou l’autre d’entres vous, mais vous vous êtes reconnus.
Pourquoi j’arrête ? Je ne sais pas pourquoi j’ai commencé ce blog. Je ne vois donc pas comment j’expliquerai le fait que j’arrête. Probablement parce que je suis trop exigent, que j’apprécie les choses bien faites et que je n’ai plus assez de temps pour me consacrer à des billets de qualité. Parce que j’ai peur de tourner en rond dorénavant (comme une lessive). Parce que ça me prend trop de temps. Parce que, parce que, parce que…
Je vous souhaite à tous bonne continuation et s’il ne faut retenir qu’une seule chose de ce blog c’est que : Rien n’est vrai, tout est possible. Je vous embrasse tous d’une bise huileuse. Adieu.